Le Ultime Interviste 2014
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INTERVISTE AI PROTAGONISTI
"The League of Nations and the debate on disarmament (1918-1919)"
Edizioni Nuova Cultura
Intervista alla autrice Sami Saré
Intervista a Thierry Sinda sulla giornata internazionale dell'Africa ed il suo recente viaggio in Egitto.
Nuova puntata della rubrica "Vista a Vista" in collaborazione con Gemma Vecchio
Nuova rubrica Vista a Vista in collaborazione con Gemma Vecchio
Intervista a Gemma Vecchio sulle ultime iniziative intraprese dalla assciazione onlus Casa Africa
Martial Sinda, Premier poète de l’Afrique Equatoriale Française Grand prix de l'AEF en 1956, Parrain du festival
Interview à Martial Sinda Premier poète de l'Afrique Equatoriale Française Grand prix de l'AEF en 1956
Léopold Sédar Senghor , 1er poète de l'A O F en 1945 et Martial Sinda 1er poète de l'AEF en 1955 , avec Mlle Colette Hubert (la future madame Senghor), en 1956
(Extrait de Premier chant du départ,Seghers, Paris, 1955.)
Ha ! Je suis le Prisonnier triste de mes draps
Qui jadis furent blancs
Mais salis
Par mes pleurs d’amour
Et par mes misères de six années.
Ce soir aux rythmes des flûtes-bambou de moi
Princesse,
Princesse-Noire,
Je te chante et te psalmodie
Déesse de la beauté naturelle et que personne n’égale !
Statuette blanche aux lèvres rouges !
Non, ta beauté est vraiment factice
Car
Tu ne sais danser
Ni wala des mains,
Ni wala des seins,
Ni wala du ventre,
Ni wala des reins,
Ni wala du Congo, la Négresse-fleuve,
Aux cuisses noires en diadème de l’arc-en-ciel !
Non ! Non ! Oh, ma parole ho !
Tu n’égales pas Statuette noire,
Femme aux lèvres noires,
Reine de l’Afrique Noire !
Reine-femme-nue-noire,
Toi seule fais la fierté,
Toi seule est l’Annonciatrice
De la Paix et du Bonheur africains enveloppés
Dans un gouffre rouge.
Hé ! Victoire des Nègres humiliés, opprimés, domptés…
Sera par un choc de silex chantée !
Le ministre de la France d' Outre-mer Gaston Deferre, le lauréat de l'AEF Martial Sinda et la Baronne Marie Surcouf
Interview au Professeur Thierry Sinda
2014 :11e Printemps des Poètes des Afriques et d’Ailleurs du 19 au 23 mars 2014
Centenaire de la Première Guerre mondiale et tirailleurs coloniaux
Hommage à Bernard Dadié
Pour la 11e année consécutive, le puissant air printanier sera de nouveau fortement coloré par l’essence salvatrice « des nouveaux chevaliers de la poésie du monde noir » (comme nous appelait notre parrain inaugural, le poète, nationaliste et homme politique malgache Jacques Rabémananjara), les poètes de la néo-négritude dont en théoricien scrupuleux j’ ai modelé les chauds vibrants jets poétiques néo-nègres pour les graver, à tout jamais, en idéogrammes d’ or des Afriques dans le premier manifeste littéraire du monde noir parisien du XXIe siècle, à travers mon Anthologie des poèmes d’ amour des Afriques et d’ Ailleurs ; laquelle marquait notre dixième anniversaire, notre acte officiel de naissance, que nul ne pourra jamais changer ! Diffusée à travers les cinq continents, nous savons, d’ ores et déjà qu’avec le corps principal et historique de cet ouvrage nous avons laissé une trace tel le petit poucet pour les générations passées, présentes et surtout futures. Je n’oublierai jamais le merci tam-tamé de Bernard Dadié , -qui du haut de ses 97 ans,- me fit au téléphone, depuis sa retraite abidjanaise de Cocody , un merci rythmique, répétitif et amplifié en 5 temps pour me féliciter de mon précieux travail où il est en bonne et juste place aux côtés de ses frères de plumes et de sang de la Négritude. Parmi les poètes de la Néo-négritude bon nombre apporte une sève de qualité première et déjà affirmée, d’autres accompagnent le mouvement avec souvent des trouvailles néo-nègres d’une originalité certaine, et doivent par conséquent poursuivre gaillardement leur travail d’écriture pour s’affirmer en tant que poète. Si l’opportunité se présente, je suis, d’ ailleurs, totalement prêt à consacrer quelque temps pour éditer les meilleurs dans une collection à créer chez un éditeur ouvert, et dynamique quant à la diffusion.
Mes contraintes professionnelles,de ces derniers temps, ne m’ont guère permis d’ impulser cette année un souffle pour faire en sorte que nous demeurions la semaine poétique du monde noir la plus longue du monde. Néanmoins, nous allons substituer à la longueur, faite de temps forts et de temps faibles (comme dans tout festival), l’intensité extrême en trois jours de partage heureux autant beau que distrayant, enivrant et instructif.
Nous savons que nous avons une mission-protection redoutable des Ancêtres, notamment de ceux dont nous fêtions le centenaire lors de l’édition précédente à savoir : Rabémananjara, Césaire et Dox, et nous ne pouvons en aucun cas être partisan de la facilité et de l’absurde légèreté.
L’édition sera placée sous le haut parrainage du poète-historien de la négritude Martial Sinda (premier poète de l’Afrique Equatoriale française en 1955, Grand Prix littéraire en 1956, et professeur honoraire à la Sorbonne –Nouvelle, chevalier de l’Ordre des Palmes académiques, et premier Docteur honoris causa de l’université Simon Kimbangu de RDC). Un hommage sera rendu au poète, romancier, nouvelliste, dramaturge et essayiste Bernard Dadié. Né en 1916, cet auteur de la négritude plus connu pour ses romans-patrimoines - Climbié (1956), Un nègre à Paris (1959)-, est aussi un grand poète révolté de la négritude , lequel en dépit de son âge appartient à la génération des années 50 du dit mouvement, commençant en francophonie avec René Maran et s’achèvant avec les indépendances africaines et malgache et le retour des écrivains noirs parisiens sur leur terre natale - , non arable négritudiennement parlant,- de l’Afrique de la Caraïbe et de l’Océan indien ; mais où les leçons théoriques et pratiques de la négritude parisienne ne sont jamais vaines, puisqu’ elles se transforment en panafricanisme d’une Afrique qui n’en finit pas de commencer à s’éveiller si l’on déchiffre les messages même ceux des dirigeants politiques les moins engagés du nord au sud, d’est en ouest. Ah Afrique miracle !!!
On ne peut rendre hommage à Bernard Dadié sans rendre hommage au petit prince de l’édition poétique française, j’ai nommé Pierre Seghers, qui après avoir publié dès 1939 la revue Poètes casqués pour lutter contre l’Allemagne nazie, ouvrit, dès les années 50, à l’époque coloniale, ses grandes ,lourdes et prestigieuses portes littéraires à 5 poètes de la négritude : Léopold Sédar Senghor, Bernard Dadié, Keïta Fodéba, Jacques Rabémananjara, et Martial Sinda, les faisant ainsi entrer dans la poésie française aux côtés de Paul Eluard, Louis Aragon, Jean Cocteau, Pablo Néruda , Blaise Cendrars, Pierre Emmanuelle et d’autres poètes français non moins prestigieux. Ces indigènes, sujets français, comme on les nommait à l'époque, vont ainsi entrer de plain-pied et de manière spectaculaire dans les lettres françaises dans la meilleure des écuries poétiques.La ligne éditoriale de Pierre Seghers valait tous les discours de liberté et d'égalité à une époque où l'Homme noir et sa culture était encore dévalorisé. Mais écoutons le poète Dadié : « Nous vivrons parce que toujours sur la brèche, / Nous nous battrons pour la Paix, / Nous nous battrons pour la Liberté. / Nous saisirons les bellicistes au collet/ Et sur leurs méfaits ferons le jour, un jour cru. […] Ciel d’Afrique !/ Que ton soleil grille les ailes aux vautours affamés, / Brûle leur pelage aux hyènes puantes et gourmandes, / Car entends-tu , ciel d’Afrique,/ Ciel bleu et pur/ Ciel de Paix, » ( « Nous saisirons les bellicistes aux collet » in Afrique debout, Seghers, 1950) ; Ou encore ces célèbres vers : « Je vous remercie mon Dieu, de m’avoir créé Noir, / d’avoir fait de moi/ la somme de toutes les douleurs, /mis sur ma tête le monde./ […] Je vous remercie mon Dieu, de m’ avoir créé Noir, / Je porte le Monde depuis l’aube des temps/ Et mon rire sur le Monde, / dans la nuit / crée le jour » (« Je vous remercie mon Dieu » in La ronde des jours, Seghers, 1956).
Nous commémorons le centenaire du début de la première guerre mondiale en braquant notre objectif sur la figure du tirailleur colonial, et plus particulièrement à travers sa représentation par les auteurs révoltés de la négritude, lesquels ont vécu pleinement le remake lors de la Seconde guerre mondiale dont nous commémorons également le 70e anniversaire du débarquement américain spectaculaire sur les côtes de Normandie, où les Nègres de France africains, malgaches et créoles allaient rencontrer leurs frères Nègres des Etats-Unis comme le chante si bellement le maître en poésie Sédar Senghor dans son fameux recueil Hosties noires (1948) totalement dédié à la mémoires des tirailleurs noirs morts pour que vivent la République Françaises des droits de l’Homme.
Et je cris à tue-tête des mots-manifestes, magiques de grandeur et d’humanité : l’abbé Pierre (hiver 54), André Aliker (le fondateur du journal Justice en 1934, il y a 80 ans),Rudolphe Douala Manga-Bell(pendu par la puissance coloniale allemande le 8 août 1914 pour cause de lutte contre l' expropriation des terres ancestrales), et tous ceux qui nous ont récemment quitté Nelson Mandela (Nation Arc-en-ciel sud africaine), Pierre Aliker (compagnon de lutte de Césaire, mort à 105 ans avec toute sa tête), James Emmanuel (l’inventeur noir américain du « Haïku jazz blues », décédé à Paris à l’âge de 92 ans), Paulin Joachim (auteur de la négritude qui publia le fameux recueil Un nègre raconte en 1954), Jean Métellus(poète haïtien ayant honoré notre festival de sa présence et lauréat du Grand prix de la Francophonie de l’Académie française ), Studuart Hall (l’éminent sociologue jamaïcain initiateur des cultural studies), Antoinette Fouque (co-fondatrice du Mouvement de Libération des Femmes) et permettez moi de citer aussi notre compagnon de la Néo-négritude arraché à la vie prématurément Léopold Kongo Mbemba, et malheur à ceux qui déshonorent leurs morts, yé cri ,yé cra, yé misticri, yé misticra !!!
Nous saluons aussi l’entrée à l’Académie française de l’écrivain haïtien Dany Laferrière et celle du sculpteur sénégalais Ousmane Sow à l’Académie des beaux arts : yé cri, yé cra, yé misticri, yé misticra, est-ce que la cour dort, non la cour ne dort pas…….
Rendez-vous poétique dans le Grand Paris : à Belleville, à Cachan et à Fresnes pour illuminer ces quartiers du futur de nos chants et réflexions néo-nègres éternels des Afriques et d’Ailleurs après, bien évidemment, avoir rempli notre noble devoir citoyen en ce temps d’élections municipales !
Thierry Sinda, Le Président
Parigi 21 Marzo 2014
En direct depuis Paris avec le professeur Thierry Sinda, poète, écrivain, président du "Festival-Printemps des poètes des Afriques et d'Ailleurs ". Nous écouterons certains extraits de poésies en direct aussi.
Lectures- dédicaces-scène ouverte
-Avec les poètes de l’Anthologie des poèmes d’ amour des Afriques et d’Ailleurs de Thierry Sinda : Marie-France Danaho, Louis-Philippe D’Alembert, Ferdy Ajax, Daniel Illemay, Romuald Chery, Solal Valentin, Denise Chevalier, Enide Darius Gordien, Iverlene Worrell Diallo, Seydou Beye, Amadou Elimane Kane, Nana Youla Yansané, Sophie Cerceau, Alain Alfred Moutapam, Evelyne Pèlerin Ngo Maa, Henri Pémot, Shoming, Fredy Jaofera, Francine Ranaivo, Antsiva, Houria, Ben Nodji, Touhfat Mouhtare, Habib Osmani, Fatima Chbibane Bennaçar, Ines Ouelasti, Monia Boulila, Jaimé Galdos et Thierry Sinda.
-Avec les poètes Kwamé N’ Goran, Pascal Bonin, Hamidou Sall, Jean-Joël Lemarchand, Guy Mayembo, Lionel Pellerin,Evelyne Tran,Jean-Marie Blanche.
-Avec les musiciens : le flûtiste Christophe Merlino, Moa Abaïd
-Avec une scène ouverte
Intervista al professore Stefano Cera
Dopo lo choc e il crollo di Ben Ali, in Tunisia, lo sviluppo, sembra prendere forma, in questa sorta di rivoluzione detta “Primavera Araba”, una rivoluzione in marcia, appropriata, per riscrivere la “Storia”, in molti paesi al di là del Maghreb:Siria, Giordania, Marocco, Yemen, Senegal, perfino in Serbia, protestano contro i governi o contro il caro vita.
Sono settimane di proteste ovunque, con più di tre milioni in piazza, in alcune zone, come il Cairo, “Place -Tahrir”, l’epicentro della contestazione, tra i pro e i contro il regime Mubarak, molti hanno improvvisato un dormitorio a cielo aperto; i manifestanti chiedono un reale cambiamento, una “ Real-Politik ” dei diritti dell’Uomo.
Tutti vogliono, le dimissioni immediate del presidente Hosni Moubarak, come è già stato per il presidente Tunisino, Ben Ali…
Molti si preoccupano oggi, dell’ingresso dei “ Fratelli - musulmani ”, nel paesaggio politico dell’Egitto, che a “priori”, sembrano destabilizzare la Sotto-regione.L’Islamismo non è un pericolo, dicono alcuni. La preoccupazione sembra, molta, sia in Israele che in Libano. Il progetto dell’Unione per il Mediterraneo, voluto dal presidente francese Nicolas Sarkozy, nel luglio 2008, non trova sbocco. Tutto sembra paralizzato, per ora, tra sogno e realtà…La pace e il dialogo, intorno al bacino mediterraneo, culla dei popoli e delle civiltà, per millenni, sembrano oggi appannati e lontani.
Addio Èdouard Glissant ! “Il Poeta creolo delle Antille”
Intervista al Professore Thierry Sinda da Parigi
Èdouard Glissant, Poeta, Scrittore e Filosofo francese, di origine Martinicana, è morto a Parigi il giovedì 3 febbraio 2011. Aveva 82 anni. Era nato a Sainte-Marie (Martinica) nel 1928. Glissant, ha completato i suoi studi in Lettere in Francia. Ha pubblicato numerose opere, di cui, alcune di poesie, come: “Un champ d’I^les”, “La Terre inquiète”, “les Indes”. È nel 1956, che ha scritto “Soleil de la conscience”. Il prestigioso premio di letteratura francese “Renaudot”, gli è stato conferito, nel 1958. Aveva sviluppato il nuovo concetto del “metissaggio” culturale contemporaneo, erigendo un nuovo ideale umano, una identità moderna, fondata sul pluralismo e la “relazione”, mettendo in primo piano, la diversità delle civilizzazioni, facendole coesistere, nelle loro specificità. Édouard, romanziere e teorico, era uno degli intellettuali francofoni più influente, di questo fine secolo. Era conosciuto in tutto il mondo, per le sue teorie e le sue opinioni.Questa figura emblematica della letteratura martinicana e francofona, aveva rotto con il concetto della negritudine, caro ad Aimé Césaire, per abbracciare quello della “Créalisation”. Ha insegnato alla “City-University di New-York, nel 1995, la Letteratura Francese.
L’Immigrazione in Italia
Intervista ad Ali Baba Faye - Sociologo Esperto dell’immigrazione già responsabile CGIL immigrazione-Roma Italia
L’immigration en Italie est un phénomène relativement récent, qui a commencé à atteindre des proportions significatives, à peu-prés, au début des premières années soixante-dix, pour devenir ensuite un phénomène caractérisant de la démographie italienne, en ce début du XXI° siècle.
Au 1º janvier 2009, l’Italie était le quatrième pays européen, pour nombre absolu d’étrangers résidents, ensuite, Allemagne (7.2 millions), Espagne (5.7 millions) et Royaume uni (4 millions). En termes de pourcentages, toutefois, se plaçait onzième.L’Italie, pour une grande partie de son histoire récente, a été un pays d’émigration; on estime qu’entre 1876 et 1976, sont partis au-delà des frontières, 24 millions de personnes (avec une pointe maximum de départs en 1913, plus de 870.000 personnes), au point, qu’on parle aujourd’hui de grande émigration ou de diaspora italienne. Pour toute cette période, le phénomène de l’immigration était par contre presque inéxistante. Les migrations dûes aux conséquences de la seconde guerre mondiale, ne céssent de se développer, comme l’exode “ Istrien ”, ou de la rentrée des Italiens des ex-colonies d’Afrique. En 1990, la soi-disant “ Loi Martelli ” a été émanée, et qui cherchait pour la première fois, d’introduire une programmation des flux d’entrées, au delà, à constituer une “ Sanatoria ”, pour ceux-ce qui se trouvaient déjà sur le territoire italien: à l’expiration des six mois prévus, furent régularisés environ 200.000 étrangers, provenants principalement de l’Afrique du Nord.
En 1991, l’Italie a du^t même se confronter avec la première vague dite “ immigration de masse ”, de l’Albanie(causée par l’effondrement du bloc communiste), résolue avec des accords bilatéraux. Dans les années suivantes, ultérieurs accords bilatéraux ont été stipulés avec d’autres Pays, principalement méditerranéens. Selon des données estimées de la “ Caritas ”, en 1996, 924.500 étrangers étaient présents sur le sol Italien. Elle est de 1998, la “ Loi- Turco-Napolitano ”, qui cherchait à réglementer ultérieurement les flux en entrée, cherchant, d’autre part, de décourager l’immigration clandestine, en institutant ainsi, pour la première fois en Italie, les centres de permanence temporaires pour ces étrangers, “soumis à des mesures d’expulsions”. La matière toutefois sera réglementée de nouveau en 2002, avec la soi-disant “ Loi- Bossi-Fini ”, qui prévoyait en me^me temps, la possibilité d’expulsion immédiate des clandestins, par la force publique.C’est le 8 août 2009, que l’immigration clandestine a été transformée en illicite administratif et de délit pénal.
L’entrée en vigueur du “ Paquet-sûreté ” (Sécurité) discuté, chevauché comme un rigoureux tour de vies, pour endiguer les entrées irrégulières du mouvement politique de la “ Lega ” (Ligue: Parti pour le fédéralisme et l’indépendance du Val De la plaine du Pô (Val Padana), région géographique de l’Europe méditerranéenne, qui s’étend le long de l’Italie septentrionale et qui coïncide avec le bassin hydrographique du fleuve Po.
On alimente de plus en plus le binôme, de l’immigration - criminalité, les migrants sont montrés du doig,t comme des proies faciles auxquelles attribuer les causes de dégradation et de ralentissement economique.L’introduction du délit pénal, a porté à terme le procès de criminalisation d’une condition humaine,** pour laquelle l’étranger est puni, pas seulement pour ce qu’il fait, mais pour ce qu’il est. Et cela est encore plus grave, si on considère « ce qu’il est ». Malgré tout cela, l’immigré a réussi à s’intégrer avec la citoyenneté, et selon sa nationalité, il commence à avoir sa propre spécificité sur le travail: les vendeurs de fleurs sont souvent des Indous (Inde), les vendeurs de fruits souvent des “Cingalesi” (Sri-Lanka), les vendeurs ambulants sont souvent Nord-africains et Sénégalais, les pompistes souvent asiatiques, les chinois experts dans le commerce et la vente en gros, avec des magasins d’habillements et de chaussures, etc… Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir, pour arriver à une majeure intégration de l’immigré dans ce pays. Mais des manifestations de “Piazza” (place), sont de plus en plus fortes et pleines à craquer, vecues et habitées d’Italiens, et pas seulement, des gens communs, des enfants de toute “couleur” et des couples mixtes y participent; c’est la preuve évidente, pour montrer que la société italienne est désormais devenue un “Melting-Pot”?.
“Le sfide della Diplomazia Internazionale” Il conflitto nel Darfur di Stefano Cera
Edizioni- Universitarie di Lettere-Economia-Diritto
Il Professore Stefano Cera In questo libro, racconta come si sviluppano i conflitti nell’arena della Politica internazionale E quali sono i meccanismi e le dinamiche che determinano la loro “escalation ”.Esistono modalità “alternative” (all’uso della forza), per la loro Risoluzione? E quali spazi ci sono per l’intervento della comunità internazionale? Queste sono alcune delle domande rispetto alle quali il volume cerca di fornire spunti di riflessione e risposte, dal punto di vista storico e la “ Rilettura ” secondo le teorie e le tecniche della sua trasformazione dei conflitti, due importanti crisi degli ultimi anni in Cecenia. Il conflitto nella Regione occidentale del Sudan viene conosciuto a livello internazionale solo a partire dal 2003 ( è stato definito “ il disastro umanitario più grave del mondo ”. In realtà esso è la conseguenza di una dinamica che si protrae da molto tempo e che ancora nasconde aspetti controversi sul ruolo dei protagonisti ( il governo di Khartoum, le milizie arabe dei “Janjawid”, i movimenti di opposizione ), anche rispetto alle prospettive negoziali in vista di una soluzione alternativa. Il conflitto in Cecenia segue parimenti una dinamica storica (le secolari tensioni tra Russi e Ceceni) e costituisce un tratto caratteristico della regione Caucasica. Esso raggiunge il culmine dell’escalation, dopo la fine dell’Unione Sovietica.In questo quadro sono avvenuti negli ultimi anni due sequestri che hanno segnato la svolta nel conflitto: quello del Teatro “Dubrovka” a Mosca (Ottobre-2002) e quello della scuola di Beslan -(Settembre-2004).
Stefano Cera,
Formatore, Cultore della materia della Cattedra-Teoria dei conflitti e processi di Pace- Roma-Tre.Si occupa di risoluzione alternativa delle controversie, formazione comportamentale e studi strategici. Docente e relatore di programmi di formazione e aggiornamento, fra gli altri, del Master in “Peacekeeping and Security Studies”- (Roma-Tre)e della Croce Rossa.Saggista, collabora con “Informazioni della Difesa”, Rivista Marittima e Quaderni della Rivista Aeronautica.
E’ Presidente della Associazione Italiana “Conciliatori e Mediatori (AICOM).È autore del volume “Gli Istituti alternativi alla giurisdizione ordinaria”.
Intervista al Professore Stefano Cera
La Libreria Feltrinelli International
Inaugurata il 27 giugno 1996, la Feltrinelli International di via Orlando - di fronte al Grand Hotel e a due passi da piazza della Repubblica - è la libreria che offre il più vasto assortimento di testi in lingua straniera d’Italia.Disposta su due piani, con oltre 100.000 volumi allineati lungo 200 metri di scaffali, dedica due intere sale all’inglese e al francese, ampio spazio è riservato allo spagnolo e al tedesco, al portoghese e al russo. Dizionari e grammatiche in tutte le lingue completano un importante settore dedicato all’autoapprendimento con CD-rom per tutte le età, per migliorare qualsiasi livello di conoscenza o anche solo per iniziare.
Intervista alla direttrice Mara Di Matteo
La libreria ha un settore davvero esteso di guide turistiche, un’area dedicata al cinema con DVD, un ampio settore di riviste e libri illustrati. Uno spazio significativo è dedicato all’apprendimento della lingua italiana per il sempre crescente pubblico straniero. Una libreria internazionale di queste dimensioni è davvero un crocevia mondiale, dove s’incontrano tante lingue, tante letterature, intrecci e incontri fra tante culture.
La Stampa Panafricana ha ora un nuovo titolo dedicato al mondo della letteratura nera pubblicata dal gruppo di pionieri Breteuil. In questa occasione abbiamo intervistato il Professore Thierry Sinda co fondatore della Rivista.
Intervista al professore Thierry Sinda
Un demi-siècle après les Indépendances, le développement semble s’éloigner de l’Afrique au fur et à mesure que les années passent. Pourquoi l’Afrique demeure-t-elle à la traîne malgré toutes les richesses qu’elle possède ? Le continent noir peut-il se sortir du piège de l’aide pour son développement si la bonne gouvernance s’installe effectivement et si les mentalités changent radicalement ? L’auteur présente ce que l’on pourrait assimiler à une nouvelle théorie des relations Nord-Sud.
Intervista allo scrittore Ferdinad Mayega
Journal Du Cameroun
Ismael Lo - Jammu Afrique -
L’ottava edizione de “Printemps des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs”, si terrà a Parigi dal 17 al 20 marzo 2011. Il tema è “Poeti di oltremare di ieri e di oggi , omaggio a René Maran.” Una quarantina di poeti provenienti dall’Africa, dai Caraibi e l’Oceano Indiano parteciperanno a quattro giorni di incontri. Il festival è patrocinato dal poeta della negritudine Martial Sinda, primo poeta dell’Africa Equatoriale Francese 1955 , grande premio della letteratura dell’AEF nel 1956. Per l’occasione abbiamo intervistato Thierry Sinda a Parigi
Intervista a Thierry Sinda da Parigi
Palabres Culturelles Internationales
PROGRAMME 2011
8e Printemps des Poètes des Afriques et d‘ Ailleurs du 17 au 20 Mars 2011
« Poètes des outremers d’ hier et d’aujourd’ hui »
Hommage à René Maran
Rene Maran
Le Printemps des Poètes est une grande fête nationale multidimensionnelle et cyclique, dans laquelle, depuis huit années consécutives, nous, poètes de la néo-négritude et d’ Ailleurs, avons coutume de nous inscrire, joliment, pour récolter les légitimes moissons printanières. Au cours de ces huit années consécutives, de célébrations joyeuses de la poésie nègre et néo-nègre, nous sommes plus que conscient d’avoir insufflé un doux et constant vent sonore et collectif, lequel est à l’ origine incontestable d’éclosions de jeunes pousses littéraires remarquables et remarquées, non seulement sur notre chère terre arable de France Métropolitaine, mais encore de par le monde. Devant ces bijoux de lettres, de sons, d’images et de formes, je constate avec jouissance que tout l’or du monde est, pauvrement, impuissant face au temps et à la détermination. Il est vrai que nous avons été intellectuellement, poétiquement et idéologiquement hardiment soutenu par des étoiles vivantes de la poésie de la négritude qui résonneront à tout jamais dans le ciel de la vraie poésie Francophone. Celle de l’éternité et non celle de l’amicale instantanéité pour laquelle nous avons un regard affectueux, car la poésie est partout, et nous appartient à tous ! Nous savons gré donc à notre premier parrain le poète Jacques Rabémananjara (Nationaliste malgache, Grand prix de l’ Académie française pour l’ ensemble de son œuvre et vice-président de la République de Madagascar ), et à notre actuel parrain Martial Sinda ( Co-fondateur du parti qui a mené le Congo à l’ indépendance , Grand prix littéraire de l’ AEF en 1956, et professeur honoraire en histoire contemporaine à la Sorbonne-Nouvelle et co-fondateur du DESC avec feu le professeur Jean-Claude Allain).Je sais gré également au professeur, fraîchement, retraité Jean Bessière, lequel nous a permis d’installer les communications du Printemps des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs dans son séminaire de l’ Ecole doctorale de littérature générale et comparée de la Sorbonne Nouvelle. Nous lui souhaitons une retraite très riche en vie et en productions scientifiques. Nous remercions également le grand poète et président de la Société des Poètes français, Vital Heurtebize, qui met le local de l’institution dont il a la charge à notre disposition.
Il est normal d’être reconnaissant à tous ceux qui par leur apport contribuent au succès d’un événement.
En cette année des Outremers décrétée par Nicholas Sarkozy, et qui s’ouvre pratiquement au moment où le grand poète Edouard Glissant et l’immense acteur Robert Liensol tirent leur révérence, nous célèbreront les poètes des outremers d’ hier et d’aujourd’hui et leur compagnon de lutte africain. La 8e édition du Printemps des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs mettra à l’honneur le poète et romancier guyanais René Maran. Il y a 90 ans, ce noir descendant d’esclaves africains arracha le très prestigieux prix Goncourt avec son roman très controversé, Batouala, véritable roman nègre. La décision de l’Académie Goncourt présidée par Léon Daudet fut commentée non seulement dans le monde des lettres, mais aussi jusque dans la chambre des députés. René Maran fut à la fois un grand serviteur de l’empire colonial français, en tant qu’administrateur des colonies dès 1909, et un grand serviteur de la langue française. Il est à la fois le père de la littérature négro-africaine francophone et l’inspirateur de romanciers français dénonçant les excès coloniaux en Afrique noire tels que Andrè Gide et Denise Moran. Dans sa dénonciation des excès coloniaux René Maran en appel à ses « frères écrivains français » et à tous les hommes de bonne volonté, car René Maran était un humaniste.
En cette année des Outremers le Printemps des Poètes des Afriques et d’Ailleurs s’emploiera aux côtés de l’Association des Amis de René Maran, présidée par Martial Sinda, à sortir de l’injuste oubli métropolitain cet auteur français de Guyane. A cet effet l’Association des Amis de René Maran contactera les maires de Paris (où il habitait), de Bordeaux (où il a étudié) et de Toulouse (où il a collaboré régulièrement à la Dépêche de Toulouse) pour que dans ces villes une rue lui soit octroyée. Pour qu’on appose une plaque commémorative à l’ endroit de sa dernière demeure, l’association contactera aussi le maire du 14e arrondissement de Paris. IL faut savoir dépasser le côté souvent purement carnavalesque d’une célébration nationale pour l’inscrire dans l’utile, le mémoriel et le pérenne. En ce sens, je félicite vivement l’ architecte Gustave Eiffel, qui a construit la tour Eiffel pour l’ Exposition universelle de 1889 (au moment où Victor Hugo , nous avait pondu un roman sociologique sur les nombreux misérables du 19e siècle),le président Léopold Sédar Senghor qui a construit le théâtre Daniel Sorano pour le premier festival mondial des arts nègres en1966 (Ce théâtre à par la suite eu son heure de gloires scéniques), et le président Abdoulaye Wade qui a construit le monument de la Renaissance africaine pour le 3e festival mondial des arts nègres en 2010 (on ne peut que souhaiter que cet édifice draina autant de touristes que la tour Eiffel qui est le monument le plus visité de France avec ses 6 930 000 visiteurs en 2008).Mis à part les nombreux couacs organisationnels, le 3e Festival mondial des arts nègres a été un excellent festival pour faire un état des lieux des créations artistiques , littéraires, intellectuelles, scientifiques et technologiques des Noirs en 2011.Le 3e Festival mondial des arts nègres fut un véritable « festival de la Renaissance africaine » , puisque les nombreuses recherches scientifiques ont mises en évidence que contrairement à une idée qui avait cours , les Noirs n’ ont pas seulement été des esclaves que l’ on a transportés, mais ils ont aussi voyagé de leur plein gré et ont, quoiqu’ il en soit, contribué à bâtir les grandes civilisations de l’ humanité sur tous les continents (moyen –orient avec la Rein de Saba d’ Ethiopie ; Océanie et Asie avec les négritos ; en Europe avec des compositeurs et escrimeurs hors pair tel que le chevalier de Saint Georges ; aux Etats-Unis avec les nombreux inventeurs noirs tel que Benjamin Benneker né en 1731 et qui fabriqua la première horloge américaine ; et bien sûr en Egypte tels que les travaux de Cheikh Anta Diop nous l’ ont largement révélé depuis le Premier festival mondial des arts , où il fut primé ).
Avant de vous convier, toutes et tous, à venir nous livrer, avec votre sensibilité culturelle et personnelle, votre poésie, avec l’ esprit d’échanges, de partage et d’ouvertures qui nous caractérise, je voudrais faire cinq clins d’ œil : Le premier est au chercheur et homme politique haïtien Athénor Firmin, dont nous célèbrerons cette année le centenaire de sa mort (en 1885, avec son ouvrage de L’égalité des races ,réédité par l’ Harmattan, il apportait une réponse cinglante à l’Essai raciste sur l’ inégalité des races de Gobineau publié en 1855 ); le second au jeune docteur Lyliane Lagneau alias Lyliane Kesteloot qui , en 1961 soutenait le premier travail universitaire sur la jeune littérature négro-africaine de langue français(même si son travail pionnier remarquable pour l’ époque date sur certains aspects, ce qui est tout à fait normal si l’ on considère le progrès inhérent au monde de la recherche scientifique) ; le troisième à Frantz Fanon dont nous célébrons le cinquantenaire de sa mort (avec son ouvrage Peau noire masque blanc, il appartient à ce que j’ai appelé l’axe des essayistes de la négritude) ; le Quatrième au Premier congrès de la FEANF (Fédération des Etudiants d’Afrique noire en France) qui s’est tenu il y a cinquante ans et qui avait porté à la tête de la nouvelle association Solange Falade ; et le cinquième au philosophe et poète Rabîndranâth Tagore dont on commémore le 150e anniversaire de sa naissance.
Et maintenant, pendant ces jours de festival- qui accordent une place de choix aux scènes ouvertes- que la poésie du monde entier se mélange et se réponde pour former le Tout monde ou la civilisation de l’ universel, selon que l’on se réfère à Glissant ou à Senghor.
Poétiquement vôtre à la puissance 1000,
Thierry Sinda
Le président
COMITE D’ORGANISATION
Président : Thierry SINDA
Professeur de Lettres, poète, délégué général chargé de la francophonie de la Société des Poètes français, critique de cinéma au magazine Amina, Directeur de communication du magazine Francophonie Actualités, conseiller littérature et cinéma du III FESMAN (Festival Mondial des Arts Nègres -décembre 2009), Président de l’ Union pour la Nouvelle France, Secrétaire général de l’ association des Amis de René Maran, Directeur général des Palabres Culturelles Internationales(www.palabresculturellesinternationales.com ) et auteur d’une thèse de doctorat sur la négritude. Il a publié un drame poétique Voyage en Afrique à la recherche de mon moi enivré aux éditions Atlantica-Séguier (www.atlantica.fr).
Directeur artistique : Moa ABAÏD (acteur, metteur en scène, arthérapeute et co-fondateur de Radio beur et radio Soleil)
Contact : poetesdesafriques@voila.fr
Tel : 06 10 01 95 25
PARTENAIRES : Année des Outremers, Printemps des poètes, Société des Poètes français, Amina, Francophonie Actualités, Le nouvel Afriqu’ Essor, Palabres Culturelles Internationales, Télé LC2 , Radio radicale, Grioo.com, Africulures.com , Sangonet.com, Radio Fréquences Paris Pluriel (Echo du Capricorne et Tam tam magazine),l’ agence de la promotion et des cultures du voyage(APCV) , lafriquedanstouslessens.com, Agence presse médiatropiques, EURO 2TD(Agence de communication), Diaspora africaine (Djibril Gningue), Dominique Drouet et Colette Perrier, Valério Truffa (atelierfiwe.com) et Philippe Gateau(webmaster) et Giselle Desloumeaux (enseignante)
PROGRAMME
(institut imaginaire René Maran)*
* Commémorations et hommages des Poètes des Afriques et d’ Ailleurs
Jeudi 17 mars
19h30 à 23h : lectures-dédicaces-cocktail
(Salle imaginaire centenaire Athénor Firmin)*
Hommage aux poètes des outremers d’ hier (René Maran, Léon Gontran Damas, Gilbert Gratian, Etienne Léro, Aimé Césaire, Guy Tyrolien, Paul Niger, Léon Laleau, Jacques Roumain, Jean-Fernand Brière, René Bélance, René Depestre, Edouard Glissant, Raoul Philippe Danaho, Edouard Maunick…) par Thierry Sinda , Moa Abaïd, Denise Chevalier
Poètes : HOURIA (Malgacho-comorienne), Marie France DANAHO (Guyane), Barnabé LAYE (Bénin), Jaimé GALDOS (Pérou), Francine RANAIVO (Madagascar), Annie-Monia KAKOU (Côte d’ Ivoire), Paola DJENGUE (CAMEROUN)
Mini-scène ouverte
Musiciens : Serge TATNOU / Partageons nos différences
Conférence-débat : « Vision du racisme aujourd’hui au travers du livre de Rokhaya Diallo » par Annie-Monia Kakou
Lieu : la Société des poètes français
16, rue Monsieur le Prince
75006 Paris
Tel : 01 40 46 99 82
M° Odéon
Vendredi 18 mars
19h30 à 23h : lectures-dédicaces-cocktail
(Salle imaginaire FEANF : cinquantenaire doctorat : L. Kesteloot, M. Sinda …)*
Hommage à René Maran par Moa Abaïd, Denise Chevalier, Ariane Sélassié-Crochet
Poètes : Jenny HYPPOCRATE (Martinique), HOURIA (malgacho-comorienne), Raoul Philppe DANAHO (Guyane), N’ dongo MBAYE (Sénégal)
Mini-scène ouverte
Musiciens : ROMA(Martinique) et René BELAICH
Conférence-débat : « René Maran, père fondateur du mouvement littéraire de la négritude » par Thierry SINDA
Lieu : la Société des poètes français
16, rue Monsieur le Prince
75 006 Paris
Tel : 01 40 46 99 82
M° Odéon
Samedi 19 mars
A partir de 15h
(Salle imaginaire Frantz Fanon, cinquantenaire de sa mort)*
Lectures, débats, projections, coktail dinatoire, et animations artistiques et culturelles :
Agnès COUDRAY (Guadeloupo-guyanaise), Alain–Alfred MOUTAPAM (Camaroun), Théodia THEODORO (Portugal), Bernabe LAYE (Bénin), Iverlene DIALLO (Barbade), Thierry SINDA(Congo),ANTSIVA (Madagascar), Sophie CERCEAU (Bénino-Brésilienne), Omolei Pons DOLO( Franco-malienne), Fredy JAOFERA(Madagascar), Ferdy AJAX(Haïti), Nana Youla YANSANE(franco-guinéenne),Marie-Loup CHENET(Haïti),Houria(Malagacho-comorienne), Evelyne PELERIN NGO MAA (Cameroun)
.Musicien : Serge TATNOU
.Hommage poète d’Outremer : Guy Tirolien(Guadeloupe) par Samuel LEGITIMUS (président du collectif James Baldwin),
.Présentation de poètes d’Outremer : Serge Coquillas (Guadeloupe) par Jenny HYPPOCRATE et Joël Girard (Guadeloupe) par Ferdy AJAX
.Hommage à l’acteur Robert Liensol par Jean-Baptiste TIEMELE (extrait du film Soleil ô de Med Hondo)
.Portrait filmé de femme d’Outremer: Maggy de Coster (poétesse haïtienne) par Valério TRUFFA (Italien)
.Court-métrage de femme : Kabamba par Nolda Di Massamba (RDC)
Lieu : dans un loft (porte verte)
6, impasse Popincourt
(Niveau 34-36 rue Popincourt)
75 011 Paris
M° Voltaire
Tel : 06 10 01 95 25
Dimanche 20 mars
A partir de 15 heures
(Salle imaginaire Edouard Glissant / Robert Liensol, ils sont partis cette année)*
Lectures, débats, projections, coktail dinatoire, et animations artistiques et culturelles
Jean-Baptiste TIEMELE (Côte d’Ivoire), Iverlene DIALLO (Barbade),
Habib OSMANI (Algérie), Pascale RABESSANDRATANA(Madagascar), Romuald CHERY (Martinique), Marie-Loup CHENET(Haïti), Fredy JAOFERA(Madagascar), Evelyne PELERIN NGO MAA( Cameroun ), Solal VALENTIN (Martinique), Deva KOUMARANE(Inde), Lima FABIEN(Guyano-martiniquaise), Nana Youla YANSANE(franco-malienne), Aimé N’ TSINGANA (Congo), Enide DARIUS-GORDIEN (Guadeloupe), Anne OGOR
.Hommage poète d’Outremer : Aimé Césaire par Evelyne PELERIN NGO MAA
.Musique : Sophie VASTER et René BELAICH
.Présentation de livre : Ce voyage je devais le faire de et par Jean-Baptiste TIEMELE (éd Klamba)
.Communication : Rabîndranâth Tagore (1861-1941)-Prix Nobel de littérature Par Deva KOUMARANE
.Présentation de poète d’outremer : Romuald Chery
.Présentation association sur la Drépanocytose par Jenny HYPPOCRATE
.SCENE SLAM: Maître de cérémonie Aimé NOUMA
.Conte deMalvina accompagnée musicalementpar Lamine Kouyaté
.Portrait filmé de femme d’Outre-mer: Yasmina Ho You Fat (comédienne guyanaise) Par Valério TRUFFA(Italien)
.Court-métrage de femme : Rendez-vous Jo par Nolda Di Massamba (RDC)
Lieu : dans un loft (porte verte)
6, impasse Popincourt
(Niveau 34-36 rue Popincourt)
75 011 Paris
M° Voltaire
Tel : 06 10 01 95 25
Fonte: Blog Ufficiale del Festival
MARZO 2010 : LE PROSSIME ELEZIONI REGIONALI IN FRANCIA
Intervista a Thierry Sinda scrittore, poeta, professore di Letteratura alla Sorbona - Presidente dell’Associazione “Le Printemps des poètes Des Afriques et d’ailleurs” e Vice Direttore della Rivista “Francophonie Actualités” di Parigi (Francia)
Biographie
Thierry Sinda est né à Paris.
Cet homme de culture d’origine congolaise est maître de conférence des universités françaises, poète, délégué général chargé de la francophonie de la Société des Poètes français (fondée en 1902 par Sully Prudhomme, José Maria de Heredia et Léon Dierx), Président-fondateur du Printemps des Poètes des Afriques et d’Ailleurs dont les deux premières éditions furent parrainées par Jacques Rabémananjara, critique de cinéma au magazine Amina depuis 1990, fondateur de la revue La feuille (première revue panafricaine de cinéma en France), Président-fondateur de Génération Diversité, directeur de communication du magazine Francophonie actualités, conseiller littérature et cinéma du 3e festival Mondial des Arts Nègres et Président-fondateur du mouvement Union pour la Nouvelle France.
Il est l’auteur d’une thèse de doctorat sur la négritude et a publié de très nombreux articles et études, et un drame poétique Voyage en Afrique à la recherche de mon moi enivré aux Éditions Atlantica-Séguier (Biarritz-Paris). Il a deux anthologies en cours de publication : Poèmes d’amour des Afriques et d’Ailleurs, qui est un manifeste de la néo-négritude parisienne dont il est l’initiateur ; et de 30 poètes de la négritude qui réunit de manière quasi exhaustive les poètes du mouvement littéraire de la négritude. Parmi ses autres livres à paraître figure un brûlot intitulé La véritable histoire de la négritude au travers du nébuleux journal de l’Étudiant noir. Son père Martial Sinda, qui fut en 1955 le premier poète de l’Afrique Équatoriale Française (Grand Prix littéraire de l’AEF en 1956), est un historien de renom, professeur émérite à la Sorbonne.
L’élection régionale en France permet d’élire les conseillers régionaux qui siègent au conseil régional pour un mandat, en principe, de six ans.
Les élections les plus récentes se sont tenues les 21 et 28 mars 2004. Les prochaines auront lieu les 14 et 21 mars 2010.Un projet de loi examiné en conseil des ministres le 21 octobre 2009 prévoit notamment la suppression des conseillers régionaux et des conseillers généraux et leur remplacement par des conseillers territoriaux qui siègeraient dans les deux assemblées. Ils seraient élus au niveau des cantons par un scrutin uninominal à un tour, avec 20% des sièges répartis à la proportionnelle. Si cette réforme est votée, elle s’appliquera pour les élections de 2014.
Les prochaines élections régionales françaises auront lieu les 14 et 21 mars 2010 et viseront au renouvellement des 26 conseils régionaux de métropole et d’outre-mer.
fonte: wikipedia.org
30 DICEMBRE 2009
L’iniziativa non violenta intrapresa il 13 dicembre 2009 da Gaoussou Ouattara membro della giunta dei radicali italiani contro i tempi illegali dei permessi di soggiorno. Il suo digiuno e la adesioni di 300 immigrati per il rispetto della legalità e dei diritti umani .
Gaoussou Ouattara Membro della Giunta dei Radicali Italiani
29 SETTEMBRE 2009 :
Intervista ad Angela Scalzo Segretario della Ong SOS Razzismo Italia
Nata a Crucoli (KR) il 25.09.1954 e residente in Roma .Giornalista pubblicista iscritta all’ordine dal 1983. Diploma di Master per Ufficio Stampa – Napoli –Accademia Per Le Ricerche- 2001.
Master in Igiene mentale Transculturale - Università La Sapienza di Roma – cattedra di Psichiatria Transculturale - novembre 2001 – novembre 2002
Antropologa socio-sanitaria – Master – Accademia Per Le Ricerche – Napoli 2001.
Attività Professionale:
Ricercatrice sociale dal 1977 presso il Centro Studi e Pianificazione Economica, (1976/ 1977), e presso l’Istituto Ferdinando Santi, (dal 1980/1995), dove ha svolto attività di ricerca su tematiche riguardanti gli Italiani all’estero e gli stranieri in Italia, per conto del Ministero del Lavoro Dir. V OAPL.
Direttore responsabile del periodico la “Cina in Italia”. Già direttore del periodico dell’emigrazione “Presenza italiana all’estero”; del mensile dell’immigrazione “Job Magazine”.
Socio Fondatore di SOS Razzismo Italia, ricopre la carica di Segretario Generale dal 1989. Vice presidente della Federation International SOS Racisme dal 1996.
Direttore Comitato Chances – Associazione promossa da CGIL CISL UIL di Roma e Lazio. Dal 1995 svolge mansioni di esperta sociale nell’orientamento e nella promozione al lavoro per cittadini stranieri, dal 1999 al 2003 ha diretto l’Agenzia omonima patrocinata dall’USI Comune di Roma.
Presidente dell’Associazione di volontariato sociale, rivolta alle fasce deboli del nostro mercato del lavoro, UIS Lazio (Unione Italiana Solidarietà) dal 1996.
Pubblicazioni:
Immigrazione straniera in Italia. Possibilità di intervento programmato dei lavoratori stranieri nei loro paesi, nel quadro di una politica socio-economica. Santi editrice 1982 – Ministero del Lavoro.
L’immigrazione in Italia:Comunità straniere a confronto. CNEL 1988
Il lavoro delle donne immigrate e l’orientamento professionale come processo di formazione e crescita. Santi Editrice 1991 – Min. Lavoro
Presenza immigratoria in Italia:metodologie didattiche, fabbisogni formativi e nuovi residenti. Santi Ed. 1991 – Min. Lavoro
Nuovi residenti fra le categorie drop – out e relativi fabbisogni formativi. Santi Ed. 1993 – Min. Lavoro
Condizioni socio economiche e finanziarie dei cittadini non comunitari presenti nella regione Lazio. Reg. Lazio 1994
Donne immigrate e mercato unico europeo: analisi e proposte per una parità di opportunità e di condizioni di lavoro. Comm. Pari Opp. Min. Lavoro 1995
Antirazzismo ed Istituzioni. Edito da SOS Razzismo Italia 1995
Interculturalismo e minori. SOS Razzismo Italia e Comune di Roma 1996
Immigrati e Lavoro: Pari opportunità e pari meccanismi di incentivo attraverso la formazione. – Edito dall’Istituto Santi per il Ministero del Lavoro – 1999
Eto Lele: prevenire consigliando. Minori stranieri a rischio di devianza. Coautrice con F. Scalzo - Edito dalla UIS Lazio – patrocinio Prefettura di Roma – 1999.
Storie Invisibili: orientamento psicosociale a transessuali e prostitute minorenni. Coautrice con F. Scalzo – Edito dalla UIS Lazio – patrocinio Comune Roma V Dip.to –2001
InterCOLF: ricerca-azione sul lavoro domestico immigrato e formazione rivolta ai collaboratori domestici di diversa nazionalità a Roma. Comune di Roma Ufficio delle politiche della Multietnicità – Comitato Chances – 2005(in pubblicazione)
Intervista a Francesca Scalzo psicoterapeuta transculturale , membro dell’esecutivo nazionale di SOS Razzismo Italia -
“STORIE SENZA STORIE”
Il riferimento di questo scritto ha un valore di testimonianza, di un vissuto. In questi anni ho prestato ascolto a molte persone straniere sia nel contesto penale minorile in qualità di consulente psicologa presso L’IPM di Firenze, sia all’esterno, nel contesto sociale della realtà romana, essendo impegnata in qualità di psicoterapeuta transculturale in una associazione di volontariato denominata UIS (Unione Italiana Solidarietà) ed in una associazione internazionale antirazzista: SOS Razzismo Italia. La mia esperienza di psicologa mi introduce nell’interiorità degli altri, in particolare degli emigranti , spesso si tratta di storie di vita avventurose, personalità sradicate. Si tratta di minori maghrebini costretti ad espatriare a causa di uno stato assente , dalla messa in crisi dei valori patriarcali , che abbandonano il loro ambiente familiare ed affettivo per un sogno: vivere in un occidente spesso mitizzato dagli stessi mass media e dai connazionali, come fonte di benessere materiale sociale e culturale. Sbarcano in Italia spesso sprovvisti di un permesso di soggiorno o con un visto turistico di 90 giorni. Poi molti decidono di fermarsi, e la loro permanenza diventa irregolare per finire nella clandestinità. Spesso la miseria materiale in cui vivono, condizioni di lavoro, alloggio, sfruttamento sotto varie forme, li spinge al rischio: devianza, spaccio, abuso di sostanze stupefacenti furti, prostituzione, entrando così nel circuito della devianza. Un circolo vizioso che aggrava le condizioni di disagio e di solitudine.
Il lavoro psicologico che ho effettuato è stato quasi sempre supportato dall’aiuto di un mediatore culturale. Probabilmente questo è il modo più diretto per conoscere la solitudine dell’immigrato, e non solo l’effetto che la solitudine stessa genera, miseria, nevrosi e paura di csternare la propria sofferenza.Per condividere con altri, il proprio mondo culturale, è importante, soprattutto nel contesto di accesso al servizio psicologico, contrastare il consolidamento di una condizione di svantaggio. La perdita della lingua, infatti, provoca potenzialmente: la perdita dell’autostima. La sensazione di una perdita di intelligenza, una regressione un senso di esclusione e di inadeguatezza.Le tappe del vissuto che emergono dalle storie di vita si possono tradurre in due momenti : “Le radici” e il “viaggio”. I problemi relativi alle condizioni economiche e di lavoro nel paese di origine dove le condizioni di sopravvivenza sono difficili e costituiscono solitamente le condizioni dell’emigrazione. Immagini di povertà e di miseria, si susseguono nella memoria dei narranti, la fuga verso la sopravvivenza o un altro modo di vivere da conquistare ad ogni costo è praticamente l’unica alternativa, ed il grado di libertà di scelta presente nella decisione di partire è praticamente nulla , contenuti, questi che si riscontrano soprattutto nelle storie di vita delle persone adulte.L’altro contenuto di base è rappresentato dall’impatto con la nuova realtà ospitante, intorno alla quale ruotano i problemi relativi al lavoro e soprattutto quello abitativo.Anche il primo impatto visivo con il nuovo spazio appare affascinante, ma ben presto le difficoltà del lavoro, l’emigrazione, la mancanza di una abitazione , proiettano nella memoria di molti immigrati l’immagine di un “oggi mostruoso”, freddo, privo di speranza, sprovvisto di una struttura organica un tempo lacunare che separa ed unisce il passato dal futuro. Il tempo dell’emigrato, non coincide, infatti, con quello dell’ambiente che lo circonda, ma è strettamente influenzato dall’articolazione interna del vissuto “temporo –spaziale”. Lo spazio del corpo viene modificato da un cambiamento dell’abbigliamento e dall’alimentazione, da un cambiamento nella distanza relazionale, da diversi modi di manifestare gli affetti da diverse percezioni di benessere e rischio, da diverse concezioni e cura di sé, da diverse concezioni della malattia.
Alcuni immigrati marocchini si trovano ad affrontare i vecchi legami con il paese di origine, la creazione di nuovi rapporti affettivi cercano di dare un significato diverso alla propria vita, anche se in condizioni molto difficili. Isolati e completamente estranei al mondo circostante , in alcuni casi, sono vittime di episodi xenofobi. La cronaca recente, riportata dalla Repubblica del 3 marzo scorso, riportava al notizia di un giovane marocchino di 29 anni vittima dell’aggressione da parte di un custode di una scuola media di Verona ” che non ne poteva più di quel giovane marocchino dalla pelle ambrata. ….
Era stanco di vederlo sotto casa in eterna attesa della figlia”. “Così ha deciso, poco prima delle sette di sera, di riempire di acquaragia una bottiglia vuota, è sceso in strada, si è avvicinato con un passo svelto al giovane che sperava di incontrare la ragazza e l’ha cosparso di liquido infiammabile. Poi gli ha dato fuoco lasciandolo bruciare, il ragazzo ha riportato ustioni al volto, alle braccia e al torace ma è stato dichiarato fuori pericolo dai medici….” Nafid questo è il nome del giovane marocchino, non ha molestato la ragazza, ma, semplicemente “presidiava” la casa dell’amata eppure ha suscitato nel padre della ragazza un razzismo primitivo ed estremo. Sicuramente, come afferma lo psichiatra Andreoli …” quel padre è vittima del pregiudizio, non è pazzo ma a Verona Romeo non può essere nero….!”.
La storia recente della Francia ci ha rivelato come la convivenza separata con le comunità di immigrati, alla lunga si traduca in proliferazione di episodi a sfondo xenofobo, anziché in superamento del razzismo e dell’intolleranza. Forse in Italia siamo ancora in tempo. E’ possibile governare il nuovo flusso degli stranieri creando le necessarie strutture di accoglienza, sociale lavorativa e psicologica, e promuovendo le necessarie politiche di integrazione.
Per fortuna la storia ci insegna che l’incrocio delle razze e delle culture ha sempre prodotto esiti di progresso e arricchimento reciproco, facciamone tesoro!
Francesca Scalzo
Fonte:http://www.uni.net/sos.razzismo/Default.htm
Stop MGF
Mai più mutilazioni genitali femminili
“In Italia sono circa 90mila le donne immigrate che hanno subito le pratiche della mutilazione
genitale femminile (MGF), diffuse in 28 paesi africani, in Medio Oriente e nel sud est asiatico. Inoltre esiste un alto rischio che le figlie di queste donne, bambine e adolescenti, subiscano tali pratiche nel corso della loro permanenza in Italia o durante un periodo di vacanza nel paese dei genitori”. Questi i risultati presentati da Pilar Saravia, presidente dell’Associazione NoDi – I nostri diritti - a conclusione del progetto STOP MGF, finanziato dal Dipartimento per le Pari Opportunità della Presidenza del Consiglio dei Ministri.
Le vittime di queste pratiche, supportate nel nome della tradizione, sono soprattutto bambine
tra i 4 e i 15 anni: l’età a rischio è soggetta ad un graduale abbassamento per evitare eventuali resistenze da parte delle stesse bambine, che, una volta adulte, subiranno con gravi
conseguenze psicologiche sofferenze fisiche provocate da malattie, rapporti sessuali dolorosi,infertilità, infezioni e parti pericolosi.
L’Associazione NoDi, che da anni s’impegna in azioni concrete per il rispetto della dignità della
donna immigrata in Italia, ha affrontato il difficile tema delle mutilazioni genitali femminili attraverso una campagna di sensibilizzazione e di prevenzione tra la popolazione migrante, proveniente dai paesi a rischio e insediata nella Regione Lazio.
Il progetto STOP MGF, iniziato nel febbraio 2007, si è sviluppato attraverso tre fasi: formazione
degli operatori socio sanitari,curata dal San Camillo – Forlanini, ricerca del fenomeno,realizzata dall’IRPPS-CNR, e sensibilizzazione/prevenzione delle comunità interessate, seguita da NoDi.
In venti mesi l’associazione NoDi ha mappato i luoghi d’incontro e dei servizi utilizzati dalle comunità a rischio sul territorio laziale, ha incontrato i mediatori culturali, ha prodotto e distribuito materiale cartaceo sul tema. Ha quindi realizzato incontri di sensibilizzazione e informazione con gruppi di vittime o a rischio di MGF nelle cinque province laziali per un totale
di 800 donne. Infine ha realizzato il sito d’informazione www.stop-mgf.org che ospita anche un forum per lo scambio di esperienze.
Se nel parlare dell’argomento la prima reazione delle donne coinvolte è la diffidenza, la parola
chiave per rompere il silenzio è quella della salute, un diritto garantito dalle leggi nazionali dei
paesi a rischio, che tendono a contrastare tali pratiche pur trovando grandi difficoltà nella loro
applicazione, soprattutto nel contesto rurale. In Italia le MGF sono un reato punibile con il carcere (Legge 9 gennaio 2006 n. 7): l’obiettivo è quello di scoraggiare l’uso di queste pratiche nella società italiana. www.stop-mgf.org
COMUNICATO
Venerdì 2 Ottobre 2009
Alla Casa Internazionale delle Donne di Roma – Via della Lungara n. 19 h. 17.00
Sta per terminare la campagna informativa di sensibilizzazione promossa dall’associazione No.Di e dal Dipartimento delle Pari Opportunità.
Questi i dati, raccolti dopo quasi due anni di lavoro: 90mila le donne immigrate che hanno Subito le pratiche della mutilazione genitale femminile (MGF), diffuse in 28 paesi africani, in Medio Oriente e nel sud est asiatico. Le vittime sono soprattutto bambine tra i 4 e i 15 anni. Tra i danni provocati: malattie, rapporti sessuali dolorosi, infertilità e parti pericolosi. Secondo i dati della Caritas, nel Lazio sono presenti almeno 7.200 donne regolarmente soggiornanti provenienti da paesi a rischio. Le donne che provengono da Egitto, Etiopia e Eritrea hanno tra l’80% e il 100% di possibilità di aver subito, o di stare per subire, la mutilazione dei loro organi genitali. La legge italiana punisce questa pratica solo dal 2006 e, sebbene anche i paesi a rischio tendano a contrastarla, nelle realtà rurali viene ancora praticata.
Intervista a Pilar Saravia Antropologa , Presidente Associazione No.Di (I Nostri Diritti)
ARTE, Cultura, LETTERATURA, MELTING POT, politica, roma, SOCIETA’, SOCIETA’ MULTIETNICA
Istruzione- Università Popolare –
Roma- Società- Immigrazione- Diversità culturale
Francesco Florenzano Presidente Dell’ Università popolare della Terza età di Roma (UPTER)
Informazione- Società- Multilinguismo-
Diversità culturale-Roma- Stampa
Raffaele Panico Giornalista professionista , *già Capo-redattore del giornale “Avanti ”
Angiolo Bandinelli Radicale , Scrittore e Giornalista, Già professore universitario alla “ La Sapienza ” - Roma
Immigrazione- Italia- Africa- Europa
Jean Léonard Touadi Deputato PD , Professore e Giornalista *già Assessore Comune di Roma e conduttore televisivo
L’immigrazione in Romania – L’ associazione Culturale della Pace – associazione delle famiglie miste residenti in Romania . L’ entrata della Romania nella Comunità Europea
Ioana Niang - *Difensore dei diritti umani e degli immigrati in Romania
L’immigrazione senegalese in Romania – Problematiche di Integrazione -
Mamadou Niang *Difensore dei diritti umani Senegalese residente in Romania Ass.Culturale della Pace
Autori Africani :
Thierry Sinda - Professore di letteratura alla Sorbona Presidente dell’Associazione “Le Printemps des poètes Des Afriques et d’ailleurs” *Vice-direttore della Rivista “Francophonie Actualités”Parigi - Francia
El hadj Diagola - Giornalista Scrittore
Franco - senegalese Autore di “ Un noir à l’Elysée ” Edizione: Menaibuc Parigi - Francia
“ Il sogno che ho avuto nella barca degli immigranti clandestini, viene ad essere realizzato. Ho perso mia moglie che è nera.Ho sposato una araba molto chiara di pelle e sono diventato
Presidente nero al Senato, e oggi, sono il Presidente della Repubblica francese per interim (provvisorio), almeno per quaranta cinque Giorni ”. È veramente il destino !
….Questa finzione sull’immigrazione clandestina ripercorre perfettamente i problemi riscontrati in alcuni paesi europei….
El-hadji Diagola fa parte di quelle figure in crescita della stampa africana in Europa.
Attraverso i suoi articoli, ha partecipato insieme ad altri all’evento dell’alternanza democratica nel suo paese di origine il Senegal. Ed è un giornalista indipendente Franco-senegalese che vive da tanti anni a Parigi. “La conoscenza non ha frontiere” (E. Diagola)
Il Turismo in Africa
Stefano Nori - “Tour -Operator” e Mediatore culturale *già gestore dell’Agenzia di viaggio “Jungle- Travel”- Roma-Italia
L’ immigrazione in Italia – La comunità africana a Roma -
Gaoussou Ouatara - militante radicale
Yacouba Dabré Segretario generale del Movimento degli Africani in Italia con sede a Roma.
Seydou Cissé – Sociologo *Esponente del movimento degli Africani in Italia-Roma
Ali Baba Faye - Sociologo *già responsabile CGIL - Immigrazione
Fatoumata Nirina Konaté - Sociologa
*già Consigliere comunale del VII° Municipio - Operatrice culturale Roma-Italia
La Rivista Mauritius News
Gilles Berger - Scientifico - Giornalista e Capo - redattore Della Rivista “Mauritius News” e “Francophonie- Actualités” Parigi - Francia
Mariano Giustino Militante - radicale *Editore e Direttore della Rivista radicale di politica Internazionale - “ Diritto e libertà ” Roma-Italia
L’OMOSESSUALITA’ in Italia - La Comunità Gay a Roma, L’archivio della comunità Gay a Roma , Il caso di Vladimir Luxuria
Claudio Mori - Giornalista, radicale
L’ESPERANTO - ASSOCIAZIONISMO - DIVERSITA’ CULTURALI - ONLUS -
Giorgio Pagano - Radicale Esperantista,
Architetto e giornalista Presidente dell’ERA ( Esperanto Radikala Asocio ) Associazione Radicale Esperanto
http://lnx.internacialingvo.org/eo/index.php?newlang=ita
L’International!
Radio-Radicale, in questo spazio di politica internazionale abbiamo voluto intervistare Francesco De Leo, giornalista, direttore del giornale “l’Interprete Internazionale”, collaboratore di radio radicale , per approfondire la sua conoscenza, la sua esperienza in questo settore del giornalismo così avvincente.
Intervista a Francesco De Leo Direttore de”l’interprete internazionale”